Que faites-vous vous dans la célébration du Jmca en Côte d’Ivoire?
Je suis artiste-musicienne et ambassadrice mondiale de la culture ici à Adiaké pour la journée mondiale de la créativité africaine, donc ici je pratique l’art de s’aimer, l’art de créer pour pouvoir permettre ce qui est culturel, intercontinental pour mettre en avant le cœur. Vous l’avez compris il y a les personnes partout avec les amoureux de l’univers pour nous permettre de faire seulement la jonction avec chaque conscience, la conscience et le néant.
C’est ainsi que nous allons favorisé l’interaction dans toute la Côte d’Ivoire qui est un pays très métissé avec lequel je suis depuis le mois de Mars pour pouvoir faire une jonction entre ici, le Cap Vert, le Brésil et le reste du monde à travers les activités et les ateliers.
Pourquoi le choix des enfants pour exprimer cet art ?
Nous allons commencer à la racine et ce qui est la racine de l’enfance qui s’agrandit avec ce qu’ils ont de bon. C’est le don de soi, c’est la créativité. Nous devons être des créateurs, nous devons être des êtres qui créent le bonheur, la lumière, le don de soi pour pouvoir intégrer tout ce qui est l’ancestralité dans les écoles avec la base des trois règnes : le ciel, la mer et la terre. Pour lesquelles nous devons apporter le respect et les futurs êtres qui vont grandir dans la connaissance pour ce qui est de semer l’amour, la quête de soi et la jonction avec l’art. Voilà pourquoi l’enfance va grandir avec ces valeurs.
C’est de l’amour que vous les partagez à travers cette atelier?
Tout est amour et nous devons faire toutes choses avec amour, prendre avec amour, donner avec amour et penser avec l’amour. C’est ça notre lumière.
Non, ils ont eu un travail à la racine qui dilue dans cette tonalité qui est le son. Nous sommes fait de sons et de vibrations qui est le verbe. C’est ainsi que nous allons commémorer le verbe-demi. Dans tous les temps il faut pouvoir être créatif dans la connaissance.
Pour vous la culture qu’est-ce s’est?
La culture c’est commémoré la diversité et ce qui se cultive dans l’articulation du métissage des connaissances.
Nous sommes des êtres universels qui doivent s’unir pour pouvoir agrandir la connaissance. Chaque personne doit s’en rendre compte qu’il est un univers où il doit s’explorer. C’est un monde contraire, c’est ce qui est la contradiction de si je donne c’est ce que je donne mais est-ce que j’ai changé le don en moi pour pouvoir le donner.
Je dois aimer l’autre comme moi-même, certains vous dirons non je m’aime, donc son amour est faux, il est corrompu dans ce qui est l’image, derrière l’image il y a le mage, ne cherchons pas l’image.
Mam Ouattara
